Julien Chambolle, le secrétaire général du « AFRICA 21 » : « l’économie circulaire s’agit de toute une révolution économique et d’une nouvelle approche. »  

Par Malek Arif

Dans le cadre du développement des activités du Réseau des journalistes africains spécialisés sur le développement durable et le changement climatique,  l’Association Africa21, a organisé un atelier de formation sur l’économie circulaire  et ce  du 02 à 05 décembre 2024, à Tunis  avec le soutien du programme PAMT2 de l’Union européenne, de l’Ambassade de Suisse en Tunisie et de la GIZ,

Dans une intervention à Albiaanews, Julien Chambolle, le secrétaire général du Réseau des journalistes africains spécialisés en développement durable et changement climatique « Africa 21 » a mis en avant l’importance de l’économie circulaire et son rôle décisif face aux défis climatiques, et ce dans le sillage d’un atelier régional sous le thème de l’économie circulaire organisé par l’association « Africa 21 » et s’étendant du 2 au 5 décembre 2024 à Tunis en réunissant des experts, décideurs et journalistes venus de toute la région.

Pour Chambollle, l’économie circulaire s’agit de toute une révolution économique et d’une nouvelle approche dans la façon de vivre de l’homme. « Elle constitue une réponse aux défis les plus importants de notre époque, parmi lesquels la crise climatique et la crise de la biodiversité », a-t-il déclaré.

Et d’ajouter : « Notre programme, financé par l’Union européenne, l’ambassade de Suisse et la GIZ, comprend 850 journalistes issus de 43 pays d’Afrique et œuvre à aider les journalistes à aiguiser leur expertise de base sur les enjeux du développement durable et à mettre à leur disposition des sources d’informations primaires de haute qualité ainsi que des experts internationaux et des organisations internationales ».

De même, le secrétaire général d’« Africa 21 » affirme que cet atelier offrira aussi aux journalistes des opportunités au niveau de l’organisation de délégations en vue de couvrir les grands événements internationaux tels que la Conférence des parties (COP). Et ce, grâce à l’aide de la Banque africaine de développement.

À noter que l’évènement a été marqué aussi par la présence de Johanna Lanitis, cheffe de mission adjointe à l’ambassade de Suisse en Tunisie, du chargé du programme PAMT2 à la délégation de l’Union européenne, Antoine Van der Elst et de Zina Skandrani, responsable du programme PAGECTE à la GIZ, pour ne citer qu’eux. et par la participation  de l’Union pour la Méditerranée, de MEDECC, du Plan Bleu, de nombreuses organisations de l’ONU.

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